MONTRÉAL - La Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville considère le boxeur Jean Pascal comme un « témoin important » dans son enquête en lien avec des allégations d'agression sexuelle qui serait survenue dans sa résidence de Lorraine, la fin de semaine dernière.
Sur sa page Facebook, lundi, le corps policier chargé de l'enquête a indiqué que le pugiliste, actuellement à l'extérieur du pays, devrait rencontrer ses enquêteurs lors de son retour au Québec, cette semaine.
Les autorités ont procédé à cette mise à jour au lendemain d'une perquisition dans la résidence du boxeur, soulignant que « toutes les autres personnes présentes » à cet endroit le week-end dernier étaient des témoins importants.
Dimanche, la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville avait indiqué que la présumée victime dans cette affaire a dit à ses agents qu'elle aurait eu une relation sexuelle « non consentante » lors d'une fête à la résidence du boxeur.
Le service de police avait ouvert une enquête vers 5 h 30, dimanche matin, après qu'une femme âgée de 25 ans eut été « prise en charge » par des patrouilleurs du corps policier.
Le 18 janvier dernier, devant plus de 20 000 spectateurs au Centre Bell, Jean Pascal a remporté un combat fort médiatisé contre le Montréalais d'adoption Lucian Bute.
Selon La Presse, le boxeur québécois Jean Pascal a été rencontré par les enquêteurs de la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville.
Pascal est considéré comme un témoin important dans cette affaire.
La police a confirmé avoir ouvert une enquête vers 5 h 30 dimanche matin en relation avec une histoire d’agression sexuelle. La plaignante a été transportée à l’hôpital avant de rencontrer des enquêteurs.
Jean Pascal était en Californie au cours des derniers jours où il a assisté au Grammy et c'est pourquoi il n'avait rencontré les enquêteurs.
La police n'a pas précisé l’implication et le rôle de Pascal dans cet événement. Le corps policier avait néanmoins confirmé que le boxeur était présent à sa résidence samedi soir.
Détails à venir.